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Les Portes Mordelaises - Rennes

Les Portes Mordelaises - Rennes

France

Nathalie Chapelain

Peinture

Style : Figuratif

Huile et Couteau , Toile, 2024

100 cm x 100 cm

Prix habituel €1.440,00 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €1.440,00 EUR
En vente Vendue
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Œuvre unique signée Avec certificat d'authenticité
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La toile met en scène les Portes Mordelaises à Rennes. Les nuances de bleu et de blanc instaurent une ambiance hivernale, tandis que le reflet dans la flaque d’eau enrichit la composition d’une profondeur supplémentaire. L’atmosphère médiévale, ponctuée par la présence de panneaux de signalisation contemporains, instaure un dialogue singulier entre passé et présent. La technique de l’huile au couteau confère à l’ensemble une texture originale et expressive.

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A propos de l'artiste Nathalie Chapelain

Fraîchement débarquée à Rennes, j’ai très vite pris le pouls de cette ville organique – assez petite pour être abordable, suffisamment grande pour offrir une foule de panoramas urbains. Du regard de l’arrivante j’ai observé, longuement, à pied, les paysages du quotidien : places, carrefours, immeubles… Loin des pans de bois, des marchés et des parcs, voir « ce qui fait ville », regarder battre son cœur. Comprendre son intimité, ce qu’on ne montre jamais. Ses pluies. Ses nuits. Son asphalte. Ses reflets.

C’est cet alphabet qui écrit le quotidien rennais que j’ai voulu peindre de manière tranchante, au couteau. Comme Rennes, les traits sont vifs, les couleurs pop, l’énergie jaillit derrière la fausse tranquillité des sages bâtiments.

À l’autre bout de Rennes, tout au bout, d’autres territoires : la mer, l’océan, les rades, les docks… toujours à portée de train. De mon quai je pars en expédition vers les cités portuaires avec la même démarche : peindre la beauté du quotidien marin, la délicate rudesse des chantiers bruts de port. L’infinité des couleurs délavées par les ans. Des machines et des hommes, de la rouille et des horizons définitifs. La majesté des bâtiments de mer qui disent, à leur manière, la puissance de l’ordinaire.