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Parquet de Bal

Parquet de Bal

France

Nathalie Chapelain

Peinture

Style : Figuratif

Huile et Couteau , Toile, 2025

81 cm x 65 cm

Prix habituel €780,00 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €780,00 EUR
En vente Vendue
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Le couple de danseurs, placé au premier plan, est magnifié par un jeu subtil de lumières et de contrastes. À l’arrière-plan, un orchestre de jazz animé sur scène insuffle profondeur et atmosphère musicale à l’ensemble. L’usage du couteau confère à la toile une matière vibrante et expressive, particulièrement perceptible dans les étoffes des danseurs et dans les reflets au sol. La peinture, posée en larges gestes énergiques, accentue l’impression de mouvement et de spontanéité. Les tonalités de bleu et d’ocre orangé qui habillent les danseurs et leurs reflets soulignent la chaleur et l’élan vital de la scène. Quant aux touches de rouge et de brun des musiciens, elles instaurent un équilibre chromatique et plongent l’ensemble dans une ambiance nocturne pleine d’animation.

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A propos de l'artiste Nathalie Chapelain

Fraîchement débarquée à Rennes, j’ai très vite pris le pouls de cette ville organique – assez petite pour être abordable, suffisamment grande pour offrir une foule de panoramas urbains. Du regard de l’arrivante j’ai observé, longuement, à pied, les paysages du quotidien : places, carrefours, immeubles… Loin des pans de bois, des marchés et des parcs, voir « ce qui fait ville », regarder battre son cœur. Comprendre son intimité, ce qu’on ne montre jamais. Ses pluies. Ses nuits. Son asphalte. Ses reflets.

C’est cet alphabet qui écrit le quotidien rennais que j’ai voulu peindre de manière tranchante, au couteau. Comme Rennes, les traits sont vifs, les couleurs pop, l’énergie jaillit derrière la fausse tranquillité des sages bâtiments.

À l’autre bout de Rennes, tout au bout, d’autres territoires : la mer, l’océan, les rades, les docks… toujours à portée de train. De mon quai je pars en expédition vers les cités portuaires avec la même démarche : peindre la beauté du quotidien marin, la délicate rudesse des chantiers bruts de port. L’infinité des couleurs délavées par les ans. Des machines et des hommes, de la rouille et des horizons définitifs. La majesté des bâtiments de mer qui disent, à leur manière, la puissance de l’ordinaire.