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Rue de saint Melaine, Eglise Notre Dame - Rennes

Rue de saint Melaine, Eglise Notre Dame - Rennes

France

Nathalie Chapelain

Peinture

Style : Figuratif

Huile et Couteau , Toile, 2024

60 cm x 60 cm

Prix habituel €480,00 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €480,00 EUR
En vente Vendue
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Avec ses teintes d’ocres rouges, ce tableau propose une vision audacieuse et contemporaine de la rue. Les couleurs chaudes instaurent une atmosphère à la fois vivante et accueillante, tout en réveillant une pointe de nostalgie. La perspective adoptée invite le spectateur à pénétrer dans la scène, comme s’il pouvait arpenter la rue aux côtés des passants. Cette immersion renforce le lien entre l’œuvre et son public, rendant l’expérience visuelle d’autant plus captivante. Le travail au couteau, par ses reliefs et sa texture singulière, confère à la toile une présence vibrante et une identité unique. On y perçoit presque le mouvement de la foule et l’animation urbaine, mis en valeur par une profondeur qui attire irrésistiblement le regard.

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A propos de l'artiste Nathalie Chapelain

Fraîchement débarquée à Rennes, j’ai très vite pris le pouls de cette ville organique – assez petite pour être abordable, suffisamment grande pour offrir une foule de panoramas urbains. Du regard de l’arrivante j’ai observé, longuement, à pied, les paysages du quotidien : places, carrefours, immeubles… Loin des pans de bois, des marchés et des parcs, voir « ce qui fait ville », regarder battre son cœur. Comprendre son intimité, ce qu’on ne montre jamais. Ses pluies. Ses nuits. Son asphalte. Ses reflets.

C’est cet alphabet qui écrit le quotidien rennais que j’ai voulu peindre de manière tranchante, au couteau. Comme Rennes, les traits sont vifs, les couleurs pop, l’énergie jaillit derrière la fausse tranquillité des sages bâtiments.

À l’autre bout de Rennes, tout au bout, d’autres territoires : la mer, l’océan, les rades, les docks… toujours à portée de train. De mon quai je pars en expédition vers les cités portuaires avec la même démarche : peindre la beauté du quotidien marin, la délicate rudesse des chantiers bruts de port. L’infinité des couleurs délavées par les ans. Des machines et des hommes, de la rouille et des horizons définitifs. La majesté des bâtiments de mer qui disent, à leur manière, la puissance de l’ordinaire.