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Le Mabilais - Rennes

Le Mabilais - Rennes

France

Nathalie Chapelain

Peinture

Style : Figuratif

Huile et Couteau , Toile, 2023

60 cm x 60 cm

Prix habituel €480,00 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €480,00 EUR
En vente Vendue
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Réalisée à l’huile au couteau, cette œuvre dégage une atmosphère douce et apaisante. La Villaine, ponctuée de ses péniches, y reflète l’âme de la vie fluviale rennaise. Les teintes délicates, dominées par des bleus et des ocres jaunes, instaurent une harmonie qui invite à la rêverie. En arrière-plan, la silhouette de la tour Mabilais inscrit la scène dans son cadre urbain tout en lui conférant une élégante verticalité. Les reflets dans l’eau enrichissent la composition d’un jeu subtil de lumière et de couleur, accentuant la sensation de calme et de suspension du temps. Ainsi, le tableau capture un instant de sérénité où nature et architecture se répondent, offrant une vision poétique et apaisante du quotidien rennais.

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A propos de l'artiste Nathalie Chapelain

Fraîchement débarquée à Rennes, j’ai très vite pris le pouls de cette ville organique – assez petite pour être abordable, suffisamment grande pour offrir une foule de panoramas urbains. Du regard de l’arrivante j’ai observé, longuement, à pied, les paysages du quotidien : places, carrefours, immeubles… Loin des pans de bois, des marchés et des parcs, voir « ce qui fait ville », regarder battre son cœur. Comprendre son intimité, ce qu’on ne montre jamais. Ses pluies. Ses nuits. Son asphalte. Ses reflets.

C’est cet alphabet qui écrit le quotidien rennais que j’ai voulu peindre de manière tranchante, au couteau. Comme Rennes, les traits sont vifs, les couleurs pop, l’énergie jaillit derrière la fausse tranquillité des sages bâtiments.

À l’autre bout de Rennes, tout au bout, d’autres territoires : la mer, l’océan, les rades, les docks… toujours à portée de train. De mon quai je pars en expédition vers les cités portuaires avec la même démarche : peindre la beauté du quotidien marin, la délicate rudesse des chantiers bruts de port. L’infinité des couleurs délavées par les ans. Des machines et des hommes, de la rouille et des horizons définitifs. La majesté des bâtiments de mer qui disent, à leur manière, la puissance de l’ordinaire.